Des traces écrites attestent l’arrivée des troupeaux provençaux au début du XIXe siècle. Les ressources principales de la commune reposaient alors sur le bois de la montagne de Roussillon et sur le pâturage de la Montagne d'Oris. Une archive du 15 avril 1810 fait état d’une partie de la montagne d’Oris affermée pour 2 ans contre une rente annuelle de 1300 F au dit Sr Joseph Gérard, berger de Provence, représenté par Sr Jean Pellat, boulanger à La Mure. Les habitants d’Oris gardèrent la faculté de parquer leurs bêtes et de faucher dans la partie de la montagne affermée sans diminution de prix. |